samedi 22 septembre 2018

Schönbrunn et Prater

Après la très longue journée d’hier, nous nous levons plus tard ce matin. Le ciel est gris foncé et la rue toute mouillée; il n’y a pas longtemps que la pluie a cessé.

Notre appartement est à seulement 15 minutes de marche du château de Schönbrunn, le Versailles autrichien (dixit le guide). Grâce aux billets réservés, nous évitons les files déjà longues. Un audio guide nous explique les différentes pièces avec juste assez de détails. C’est absolument magnifique! Les meubles et la décoration sont encore en place comme si l’empereur était parti en vacances hier. Sauf qu’il a oublié de fermer la porte derrière lui et que des centaines sinon des milliers de touristes ont pris d’assaut sa modeste demeure.

Le ciel est encore chargé mais il ne pleut toujours pas quand nous émergeons du château. Nous en faisons le tour pour admirer les jardins.

Nous montons à la gloriette. La vue vers le château est de toute beauté, avec la ville en arrière-plan. Nous marchons encore une bonne heure en admirant les fontaines; celle des ruines romaines est particulièrement étonnante. C’est finalement l’estomac qui nous amène à la sortie. Nous dînons à l’appartement.

Comme le ciel semble pouvoir se retenir encore un peu, nous prenons le métro pour nous rendre au Prater, la fête foraine permanente de Vienne depuis 1766. En route, nous arrêtons un moment à Schwedenplatz pour repérer le quai d’où partira notre bateau lundi matin.

Nous voici au Prater. Nous nous demandons quels pouvaient bien être les manèges à l’époque! Quant à la célèbre grande roue de 1897, elle nous accueille juste à l’entrée.

C’est samedi et malgré la température vraiment incertaine, les familles sont nombreuses, autant dans les manèges que dans les biergartens. Nous quittons vers 17h00 et il ne pleut toujours pas, merci St-Jacques.

Nous soupons au bout d’une jolie place piétonnière recommandée par Sylvia, notre hôte, à seulement 3 coins de rue de l’appartement. Le wiener schnitzel est excellent.

2 commentaires:

  1. Tu dis que la grande roue vous accueille. Est-ce à dire que tu es monté à bord Richard?

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  2. Certainement pas. C’est trop haut. Louise

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