Nous marchons sur la promenade qui longe la plage, plus propre qu'à Pimentel mais encore loin des normes de la Martinique. Chanceux, nous assistons au départ de quelques pêcheurs sur leurs petits bateaux de roseaux. Il faut les voir affronter les vagues à genoux, ramant avec un simple morceau de bambou. Les pélicans les suivent de près.
Le soleil faisant son œuvre, nous partons à la recherche d'une terrasse. Louise veut prendre un café, un vrai café, pas l'espèce de sirop noir servi partout et qu'il faut diluer avec de l'eau. Mais il est absolument impossible de trouver une machine à café digne de ce nom dans tout le village. Je réussit enfin à la convaincre de passer à quelque chose de froid et nous nous retrouvons devant un grand pot de limonade. Très bon choix, beaucoup plus rafraîchissant et en plus, disponible partout! De fil en aiguille nous finissons par rester jusqu'au dîner. Le riz aux fruits de mer est excellent, de même que les yuccas frits.
Une petite ballade dans les boutiques et nous repartons pour Trujillo, nous cacher à l'hôtel pour le reste de l'après-midi.
Nous passons notre dernière soirée à Trujillo sur sur la rue piétonnière Pizarro qui donne sur la Plaza de Armas. Ce soir, les fontaines fonctionnent pour la première fois.
ça ne doit pas être facile de garder l'équilibre dans les vagues avec ces drôles de bateaux...et que dire de la rame. Ils sont talentueux ces péruviens!!
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